Coups de clavier!

Je vous entends déjà rigoler.

Allez-y un bon coup, ça va vous faire du bien.

C'est terminé? Non? ok, j'attends.

C'est bon? Je peux conter mon histoire maintenant?

En mai dernier, nous sommes redevenus banlieusard. Le bungalow, la pelouse, l'autoroute pour aller partout. C'est notre quotidien. D'ailleurs, je vous en ai parlé à plusieurs reprises.

En soi, la banlieue, ce n'est pas un si mauvais choix. La boulangerie bio est loin, et le fromage du IGA est à chier, mais ça peut aller.

Mais quand on demeure à l'Ancienne-Lorette, et que on n'est pas d'accord avec le maire, c'est moins drôle. Aux séances du conseil, les insultes pleuvent. D'ailleurs, un conseiller municipal, opposé au maire, a pris la plume dans les derniers jours. Je vous invite à le lire ici.

Je suis un de ceux qui s'est fait intimider, qui s'est fait crier de vendre sa maison, de fermer sa gueule. Aujourd'hui, je leur réponds. Nous sommes ici pour rester, que ça leur plaise ou non. Parce que même si ils agissent en crétins, j'aime mon environnement physique, j'aime ma maison et j'y suis bien. Mais je ne m'empêcherais jamais de critiquer ce qui me déplaît.

Libellés : En banlieue