29 septembre 2006

 

La bonne prononciation

Un petit conseil à ceux et celles qui aimeraient faire des chroniques culturelles, à la radio ou à la télé.

Il est très important de bien articuler, et de connaître les différences phonétiques. Inc et Ing, ça ne se prononce pas de la même façon.

Au retour, sur Radio-Can, ils parlaient des films d'animation. La chroniqueuse à la vie culturelle qui interroge son collègue "Avez-vous vu montres inc?" Allez, dites-le vite, en remplaçant le inc par ing.

C'est un post ridicule, qui serait très bien supporté par l'extrait audio, mais je ne l'ai pas! Alors faites travailler votre imagination!

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28 septembre 2006

 

Pour Sylvain

Mon grand ami Sylvain est présentement en Californie. PA tech pour le Cirque du Soleil, il y a quand même pire dans la vie. Mais Sylvain a peut-être le mal du pays. Alors juste pour toi mon vieux, à quelques jours de ton anniversaire, voici une liste de raison pour ne pas t'ennuyer de Québec

  1. À L.A., il n'y a pas de pichet de bière cheap à 5.99$ à la Girafe (au Monkey pour ceux qui ont moins de 26 ans)
  2. À L.A., il n'y a pas de doublé de Eons sur les radios "rock"
  3. À L.A, vous n'êtes pas à un mois de la première neige, et les pneux d'hiver sont le dernier de vos soucis.
  4. L.A., c'est plus classe que A.L. (Ancienne-Lorette)
  5. À L.A., tu ne peux pas repasser les vieux Lance et compte sur Illico (Ok, je l'admets, dans ton cas, ça risque de contribuer à ton retour!)

Bonne fête vieux! J'irai manger de la crème glacée frite en ton honneur dimanche!

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27 septembre 2006

 

La leçon de discrimination

Touchant reportage ce soir à Enjeux. Une enseignante de troisième année qui, pendant 2 jours, sépare sa classe en deux et traite de façon différente les 2 groupes. La première journée, les Grands sont sa cible. Ils sont moins intelligents, plus brouillons, plus disciplinés. Les Petits obtiennent donc des privilèges.

Le lendemain, suite à l'intervention d'un dirigeant de la commission scolaire, un Grand monsieur, les rôles sont inversés. Tout le monde sait que les Grands sont supérieurs; c'est eux qui vont aux Olympiques et le Premier Ministre est de grande taille!

Les réactions des enfants sont étonnantes. En quelques heures, la ségrégation s'installe. Les jeux se font entre Petits et entre Grands. Les pleurs sont nombreux. À la récréation, les files se forment entre Petits et Grands, sans que l'enseignante le demande.

Retour dans la classe quelques semaines plus tard. Les enfants qui étaient mis à part, notamment un enfant avec un surplus de poids, semblent mieux acceptés.

Au-delà de l'expérience, je souhaite que nos écoles soient remplis de "Annie" (c'est l'enseignante de ce groupe) qui vont plus loin, qui osent. Elle a mené une expérience pas facile, pour que son groupe progresse, et également pour supporter les élèves discriminés. Dans ce métier exigeant, faire ce qui est demandé est déjà immense. En faire plus, c'est comme grimper l'Everest; ça mérite toute notre admiration.

Chapeau aux enseignants (dont Madame ma Conjointe) qui se donnent toujours au max, tous les jours, pour les enfants de leur groupe.

Le reportage doit passer en reprise sur RDI dans les prochains jours, et il est possible de l'écouter sur www.radio-canada.ca/enjeux .

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Et ça continue!

N'allez pas penser que je suis accroc d'Occupation double!

Mais ça me trottait dans la tête, depuis ça.

Et j'ai vérifié! L'exclus de la semaine avait lui aussi indiqué lire un livre présentement!

Donc, jusqu'à présent, sur les 8 lecteurs, 5 sont éliminés!

Un petit conseil : ceux qui veulent trouver l'amour et qui fréquentent la biblio, ne vous inscrivez pas à Occupation double!

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24 septembre 2006

 

Les droits de l'autre...

Lorsque j'étais petit, mes parents m'ont répété des milliers de fois un grand principe. Il ne s'agissait ni de Qui va à la chasse perd sa place, ni de Mange ta main et garde l'autre pour demain. Non, ils m'ont plutôt enseigné que mes droits se terminaient où ceux des autres commencent. Encore aujourd'hui, c'est quelque chose que j'ai toujours en tête.
Lorsque les médias ont commencé à parler des difficultés liés au port du hidjab ou du kirpan dans les écoles montréalaises, je n'en ai pas fait de cas. En effet, si ces gens réclamaient le droit de porter leurs signes religieux dans des lieux publics, en quoi le droit des autres utilisateurs de ces lieux étaient brimés? Même chose pour établir des locaux religieux... En quoi est-ce plus grave que de fournir un local à un club d'échecs? Et le hidjab, est-ce si grave? En quoi les couvre-chefs, quelqu'ils soient, nuisent à l'apprentissage? Et le kirpan, tant qu'il demeure un objet religieux, est-il si dangereux? (parenthèse : j'ai fréquenté un collège privé au secondaire, et un crucifix, dans une bataille d'ados, ca peut faire mal également, j'en ai de bons souvenirs!)
Ce week-end, La Presse a publié une série d'articles sur les accommodements entre religions. Un de ces articles touchait le dossier des soins médicaux qui sont dispensés aux musulmans et juifs dans les hôpitaux montréalais. (c'est ici pour lire!)
Dans ces exemples, les communautés culturelles en cause ne tiennent pas compte des droits des autres. Les médecins et les employés ont également des droits dans notre société. Entre-autre celui de gagner leur vie. Et les autres patients également ont droit à des services, et l'organisation du travail ne doit pas réduire leurs droits, au nom de l'accommodement des communautés culturelles.
L'article parle également de certaines personnes qui refusent de transiger avec des femmes en autorité, demandant de parler à un homme. Ceci laisse supposer que ces mêmes personnes, dans leur vie professionnelle, refuseraient d'engager une femme à un poste de responsabilité. C'est quelque chose d'inacceptable dans notre Québec des années 2000.
Continuons à accepter le hidjab et le kirpan dans les endroits publics. Mais refusons d'accorder des privilèges qui briment les droits des autres membres de la société, au nom de valeurs ou d'enseignements religieux. Parce que vivre en société, c'est également considérer les droits de l'autre. Et pour les musulmans et les juifs qui ont décidé de vivre au Québec, les catholiques et les athés sont les autres.

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Signe que tu deviens un banlieusard #2

Tu passes un dimanche après-midi au complet enfermé dans un garde-robe à installer des nouvelles tablettes, et ensuite tu t'extasies en les regardant.

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23 septembre 2006

 

Des commentaires pour Patrick Lagacé

Patrick Lagacé, qui blogue à l'adresse www.pat.blogue.canoe.com, a du fermer sa section Commentaires, qui était envahi par de vilains trolls.

Ayant des choses à dire sur certains de ses derniers textes, je me permets d'en reprendre des extraits ici!

Premier extrait (qui provient d'ici)

Un mot sur le père de Jan Wong. Je ne sais pas c'est qui, c'est un restaurateur, je crois. Des groupes ont commencé à attaquer Miss Wong en visant son père. Je ne suis pas d'accord avec cette façon de faire. Qu'importe ce que son père a dit ou fait dans le passé, Jan Wong est une adulte vaccinée de 54 ans. Je ne vois pas ce que son père a à voir là-dedans. Surtout qu'on ne manque pas d'arguments pour tomber sur la tête de Jan, pas besoin de d'invoquer le paternel, me semble, pour enfoncer le clou. C'était l'éditorial de la journée, les amis.


Dans son texte contreversé, Mme Wong a fait le lien entre le peu de pourboire versé par les Québécois au restaurant de son père et la faible valeur marchande de ce même restaurant. Bien sûr, si les Québécois versaient peu de pourboires, c'est qu'ils sont racistes.

Entre-vous et moi, le fait d'avoir été condamné pour insalubrité peut-il avoir plus d'impact sur la valeur d'un commerce que les quelques 25 sous versés en moins en pourboire lorsqu'on va se bourrer la face au buffet?

Et on continue, avec un autre extrait (qui provient d'ici)

Notre système de santé ne pas super bien. Pas besoin de vous faire un dessin. Il se trouve beaucoup de gens pour suggérer que le privé devrait avoir plus de place dans le système. Le privé, c'est payer les quelques milliers de dollars nécessaires à une opération. C'est aussi faire entrer les compagnies d'assurance dans l'équation. Je sais que le système public n'est pas parfait. Mais inviter les firmes d'assurance privées dans les hôpitaux, c'est comme ouvrir les portes du poulailler aux renards, aux loups et aux cuisiniers de Saint-Hubert. On oublie comment les compagnies d'assurance sont des entités répréhensibles, qui font tout pour ne pas vous payer quand vous en avez besoin. Si vous vous êtes déjà fait voler une auto, il y a fort à parier que vous ayez eu à vous obstiner avec votre compagnie d'assurance pour obtenir pleine compensation. Ces gens-là font des profits grâce, entre autres, aux dédommagements qu'ils refusent de verser.


Je suis tellement en accord avec vous, M. Lagacé. Il n'y a rien qui me fait plus rire que d'entendre les dirigeants de compagnie d'assurance se battre pour l'accessibilité aux soins, pour le droit de choisir des gens. Voyons donc, si les compagnies d'assurance veulent avoir leur place dans la santé, c'est pour notre cash. Elles s'en foutent que l'on attende plus ou moins, que l'on soit guéri plus rapidement. Ce que leurs actionnaires attendent, c'est des dividendes, pas que tout le monde soit soigné en 45 minutes!

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Le golf

La golf, c'est envoyer une très petite balle, dans un très petit trou, sur un très grand terrain, avec un outil très mal adapté.

Je n'ai pas gagné le tournoi de golf du bureau, et l'an prochain je m'amène un bâton de baseball !

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21 septembre 2006

 

Intéressant

Dans Le Devoir de ce matin : http://www.ledevoir.com/2006/09/21/118628.html

Et pourquoi pas en profiter pour relire mon brillant billet du 3 août dernier (ici)?

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Un deuxième succès impossible

En janvier 2006, les Conservateurs ont pu remporter les élections grâce à une campagne menée de main de maître. Tout au long des élections, il n'y a pas eu de déclarations contreversés en provenance d'obscures candidats, ou de candidats reconnus pour leurs prises de position radicales.

L'équipe qui entourait Stephen Harper était impitoyable là-dessus. Et les résultats ont été plus que probants.

Mon ami Claude et moi avions déjà discuté de la difficulté de reprendre ce scénario. Nous nous entendions sur le fait que lors de la prochaine élection, les députés qui auraient pris du gallon, notamment en occupant un siège de ministre, se laisseraient difficilement museler par le war room de Harper.

Et ça commence. Ce soir, Daniel Petit, le député de Charlesbourg, fait la une de Cyberpresse(C'est ici pour l'article). C'est de l'amateuriste total de sortir une telle déclaration quand l'ensemble de la classe politique québécoise déchire sa chemise sur la place publique pour le même dossier...

Daniel Petit est l'exemple type du poteau d'élection, celui qui est destiné à servir de chair à canon. Mais parfois, la politique nous réserve de bien drôles de surprises. Et c'est ce qui c'est produit quand Richard Marceau a perdu ses élections.

Gageons que dans les hautes sphère du parti, on aurait préféré perdre quelques comtés plutôt que de se ramasser avec ça...

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20 septembre 2006

 

Depuis mercredi dernier

Depuis mercredi dernier, les journalistes nous parlent des gothiques, des blogs, du rejet vécu par certains jeunes à l'école.

Depuis mercredi dernier, les proches de d'Anastasia De Sousa pleurent son décès.

Depuis mercredi dernier, des milliers d'étudiants et des centaines d'enseignants et de membres du personnel de Dawson College sentent que leur vie ne sera plus jamais pareil.

Depuis mercredi dernier, les parents et les frères de Kimveer Gill pleurent son décès, sans comprendre comment il a pu arriver à ce point.

Depuis mercredi dernier, des chroniqueurs remplissent des pages, envahissent les ondes.

Samedi dernier, Jan Wong a sérieusement disjoncté dans son article du Globe and Mail. Je n'ai pas envie d'entrer dans le débat sur le sérieux de ses propos. Il y a une quasi-unanimité à ce sujet au Québec. Je vous invite d'ailleurs à lire Yves Boisvert ici.

Aujourd'hui, au Québec, 5 jeunes ont été accusés d'avoir proférés des menaces envers leurs camarades ou leur établissement scolaire. De ces jeunes, 3 fréquentent des établissements anglophones : deux à Longueil, et un à Québec. Comment peut-on expliquer ce ratio anormalement élevé, sans tomber dans la généralisation et les préjugés? Parce qu'il y a assurément une raison qui explique tout ça.

Je ne vais pas tenter de réponse, même si j'ai certains trucs en tête. Je continue à brasser tout ça, et je vous reviens.

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Ricardo, je vais voler ta job!

Peu de gens s'en doutent, et encore moins le savent, mais je suis un excellent cuistot!



Un filet de porc teryaki, accompagné de ses légumes sautés. Un truc vite fait pour un mercredi après le boulot! Et également une des dernières occasions de jouer au banlieusard avec mon barbecue avant le printemps 2007!



Et samedi dernier, pour un souper avec un couple d'ami, des poitrines de poulet au ricotta et proscuito (et non au promiscuito), accompagné de pâtes aux tomates italienne. Un emprunt du livre "Ma cuisine week-end" du célèbre Ricardo (aurait-il eu le même succès avec Roland comme prénom?)

Bon d'accord, ce billet n'a pas vraiment d'autres buts que d'afficher des photos et de m'auto-congratuler un peu!

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17 septembre 2006

 

Ceux qui lisent, c'est dehors

Ne voulant pas être en reste, et souhaitant soutenir une conversation lors de la pause café avec mes gentilles collègues, je suis aller visiter le site d'Occupation Double. Ok, je l'avoue, j'avais aussi envie de regarder les photos des jolies demoiselles!

Sur la fiche descriptive, chacun des 17 participants doivent indiquer leur livre préféré, et celui qu'ils sont en train de lire. Sur 17, il y en a 8 qui lisent un livre actuellement (j'ai omis intentionnellement celle qui répond "des revues à potins").

Et sur les 5 exclus de la semaine, 4 sont parmi les 8 braves qui lisent actuellement un livre.

Étant fou de statistiques, et profitant du fait que Madame ma Conjointe fait la sieste, j'ai voulu calculer la probabilité, dans un groupe de 17 personnes, dont 8 partagent la même caractéristiques, les chances que 4 sur 5 des exclus soient ceux qui lisent! Pour le calcul, et parce que je suis pas mathémacien, mais plutôt gars des comm, on va supposer que le premier exclus, ne lisait pas!

Le résultat? Avec le hasard, seulement 3,8 % des chances que cette situation se produise (8/16 * 7/15 * 6/14 * 5/13). Intéressant non?

Les dirigeants de Quebecor pourraient peut-être remettre des bons d'achat, ou organiser une sortie de groupe chez Archambault, pour montrer que les livres, c'est pas si méchants!

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16 septembre 2006

 

Un kit de golf

Un ami : Je me suis acheté un équipement de golf! Des bâtons, des balles, un sac, une petite voiturette et un beau polo.
Vous : Ha oui! Tu veux te mettre au golf! Super!
Un ami : Oui, j'aime ça frapper des balles!
Vous : Je joue moi aussi. On ira se faire un petit 9 trous demain si tu veux!
Un ami : Non non, c'est gentil de l'offrir, mais moi c'est seulement le champs de pratique qui m'intéresse!

Vous en penseriez quoi, si cette situation arrivait pour de vrai? Seriez-vous tenté de considérer votre ami comme un crétin de première classe? Investir des centaines de dollars pour juste tapper des balles, sans vouloir jouer, c'est plus que surprenant.

Pourtant, au Québec, des milliers de personnes possèdent des armes à feu pour se pratiquer à tirer. Des armes qui, souvent, sont totalement inutiles pour la chasse. Et tout ça, sous la bénédiction de nos élus. Pourquoi possèder des armes, si ce n'est que pour gaspiller des balles sur des cibles en carton?

Je n'ai rien contre ceux et celles qui possèdent des armes afin d'aller à la chasse. Mais je demeure toujours septiques face à ceux et celles qui ont des armes uniquement pour s'entraîner à viser. Parce que je ne sais pas sur quoi elles ont l'espoir de viser réellement un jour.

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14 septembre 2006

 

Rien à ajouter, ou presque!

Sur cyberpresse:


L'arme utilisée par l'auteur présumé de la tuerie du collège Dawson et qu'on peut voir entre ses mains sur son carnet en ligne est un fusil d'utilisation restreinte fort populaire parmi les adeptes du tir. «Pour tout dire, c'est une arme amusante à utiliser, affirme Tony Bernardo, directeur de la «Canadian Shooting Sports Association», qui possède la même arme, un Beretta CX4 Storm


Amusante? 1 mort, 19 blessés. Il y a des choses plus amusante que ça dans la vie.

Si M. Bernado se cherche des choses "amusantes" qu'il me fasse signe. Je l'aiderai à trouver un passe-temps "amusant".

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12 septembre 2006

 

Et ça veut faire un pays!

Sur son blog, le prof maudit déplore une procédure administrative un peu absurde de son employeur. Dans la section commentaire, un illustre anonyme vient faire le commentaire suivant:
J'adore être mise au parfum des illogismes de notre société. Ça n'est pas du tout (mais pas tout!) une question de parti au pouvoir. On dirait que les fonctionnaires ont le dessus sur les gouverneurs: le "tout-le-gouvernement-du-québec" sous-performe depuis.. pffft! Depuis que j'avais la poitrine plate. Et ça date.

J'adore être mise au parfum de ce genre d'illogisme. C'est tellement typique d'ici.

Et ça veut se faire un pays. Sorry, mais y'a quelques croyances et mouvances internes à régler avant de procéder à l'étape pays. Dont le "looserisme" - pardonnez l'anglicisme, mais perdantisme n'exite pas et n'est pas aussi percutant.


Ce genre de commentaire, je l'entends souvent. Et je le lis encore plus souvent sur les forums de discussion politique. Aussitôt qu'un problème, le plus insignifiant soit-il, se pointe le nez, on remet sur la table le projet souverainiste.

Coudon, est-ce que je suis le seul à penser que des problèmes administratifs et de fonctionnement, il y en a dans tous les états du monde? Ou est-ce que ce sont les derniers arguments qui demeurent dans les mains des fédéralistes? On ne peut pas faire de pays du Québec parce qu'un directeur des ressources humaines d'une commission scolaire est incompétant?

Pour revenir au blog du prof maudit , c'est vraiment touchant. Cet homme, aime vraiment son boulot, et nous fait sentir son attachement profond à ses élèves. À lire!

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03 septembre 2006

 

Un dimanche pluvieux

C'est un dimanche classique d'automne. La pluie, la pluie et la pluie.

Moi et Madame ma Conjointe avons donc profité de l'occasion pour pratiquer une activité de couple, seuls à la maison.

(Heille, c'est pas de ça que je parle... jeunes obsédés!)

On a fait de la sauce à spaghetti!

Un seul problème. Je n'ai pas en main la recette de mon adorable maman. Mais Madame ma Conjointe a celle de ma tout-aussi adorable belle-mère. Et la sauce à spag fait partie de cette courte liste de plat donc notre maman est l'experte. Comme le pâté à la viande,le pâté chinois et les macaronis à la viande. (Vous allez croire que ma mère ne cuisine qu'avec de la vache de réforme hachée!)

Tout ça pour dire que c'est pas la recette de mon adorable maman. Alors, ça goûte pas pareil... Zut! Celle de la tout-aussi adorable belle-mère est sucrée. Mais il y a rien de sucré dans les ingrédients. Bizarre non?

Et vous, sucrée ou non votre sauce à spag?

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02 septembre 2006

 

Un autre ami sur notre terrain!

Photographié ce matin, dans un massif d'arbuste sur notre terrain!





Pour en ajouter, je vous précise que cette charmante bestiole était plus grosse qu'un 2 dollars.

Qui a dit que la banlieue était ennuyante?

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